Quel COMPORTEMENT et quel style de COMMUNICATION faut-il adopter dans un contexte professionnel au Canada ?
Témoignages
Élodie Richard, Executive Director Canada, Estée Lauder, témoigne de son expérience dans l’entretien que j’ai mené avec elle :
« À un Français qui arrive pour le business, je dirais […] que si les Canadiens sont très ouverts, il n’en reste pas moins que cela prend du temps d’établir des relations avec eux. Un facteur d’échec consisterait à vouloir aller trop vite, trop rapidement, dans la perspective produit et retail. En effet, ce n’est pas parce qu’une approche et un produit marchent à Toronto qu’ils marcheront à Vancouver ou à Montréal. Seul le temps permet de comprendre réellement la diversité du Canada.
Au final, le Canada est une terre d’accueil. On le sent nettement : il y a ici un réel équilibre de vie. Il y a un respect mutuel des gens et je pense que cela facilite les choses que ce soit de manière professionnelle ou personnelle. Pour en bénéficier, il suffit de venir en restant très humble. »
Elle poursuit :
« La première chose que je dirais à un Français qui arrive ici, c’est de garder à l’esprit que le Canada, ce n’est pas les États-Unis. Comme le Canada est un pays très vaste, il y a plusieurs Canada. Pour cette raison, on ne peut pas faire du business B2C de la même manière quand on parle à un client qui vient d’Ontario, une personne du Québec, une personne qui vit à l’Ouest ou même au centre du Canada qui est un peu le « Texas » canadien. Le pays est bilingue français-anglais de manière officielle : au Québec bien sûr, mais aussi dans tout le reste du Canada. Quand on commence à faire du business, il faut le comprendre tout de suite. Trop d’entreprises françaises se disent « je commence au Québec pour percer et ensuite je vais pouvoir faire le reste du Canada ». En fait il faut penser la totalité du Canada dès le début. Le cœur du business et le cœur de l’économie se trouvent en Ontario et à Toronto. Donc mon conseil est de commencer par être basé à Toronto. Je pense que c’est une base bien meilleure que de commencer au Québec. Par ailleurs, je rappellerais à un Français qui arrive que le multiculturalisme au Canada est très important. Il y a un réel respect des sous-cultures, et les communautés différentes vivent en respect les unes avec les autres. On dit souvent que les États-Unis sont un melting pot, comme une salade mélangée. À l’inverse, au Canada, même si tout le monde embrasse la culture canadienne, chacun est fier de son origine, et s’attend à ce que les personnes la respectent, d’où l’importance, en management, de savoir quels festivals sont fêtés au Canada. »
Guillemette Moreau, Coach associé de Cadran, implantée depuis 10 ans au Canada, témoigne de son expérience :
« L’accueil au Canada, quelles que soient les provinces, est en général très souriant. Vous le remarquerez dès l’aéroport, dans les magasins, même dans le métro les gens peuvent vous sourire. Le tutoiement en français au Québec est quasiment de rigueur.
Mais il faut différencier convivialité et intimité : ce n’est pas parce que les gens sont ouverts et conviviaux, que vos voisins vous saluent et font un brin de causette sur l’hiver qui est bien long que vous êtes amis…
Et ce n’est pas parce que votre CEO est très convivial qu’il va forcément apprécier que vous challengiez ses idées trop ardemment, en vous posant comme à égalité hiérarchique, certains ont perdu leur poste assez rapidement pour cela.
Enfin restez positifs même quand vous êtes déçu ou énervé, râler ou critiquer crée de la tension dans la relation et nous sommes dans un environnement averse au conflit… »
« Ce qui est important à comprendre c’est qu’on est face à un millefeuille, un millefeuille déjà de provinces. Une peu comme les États-Unis, le Canada est un pays jeune avec des provinces qui ont des identités et des cultures très très différentes. Et il n’y a pas grand-chose en commun entre un Québécois, un Albertain ou quelqu’un de la Nouvelle-Écosse dans ses valeurs, dans ses choix politiques.
Mais aussi un millefeuille à l’intérieur des provinces.
Par exemple au Québec, Montréal se distingue clairement du reste de la Province par son bilinguisme, ses choix politiques – cela s’est vu aux dernières élections provinciales. Et souvent les gens se définiront par leur région de naissance, et être du Lac Saint-Jean n’est pas la même chose qu’être du Saguenay même s’il y a 40km de distance. »
Elle ajoute :
« Le Canada est un pays d’immigration, l’anglais est la lingua franca de toutes les communautés, et la communication en anglais notamment dans les affaires est assez facile.
Officiellement le Canada est bilingue mais le Nouveau-Brunswick est la seule région officiellement bilingue anglais / français et le Québec est une province monolingue de langue française !
Cela créé bien sûr de la complexité pour les entreprises qui doivent communiquer en permanence dans les 2 langues mais aussi que le Québec est un monde à part où la question linguistique est centrale à toute décision politique.
Pour les Français arrivant au Québec, vous pouvez sourire de certaines expressions québécoises mais c’est souvent bien imagé et plein de bon sens. Mais évitez de chercher volontairement à prendre l’accent ou à utiliser certains « sacres », cela pourrait être mal pris. Avant même que vous avez ouvert la bouche, votre interlocuteur sait sans doute déjà que vous êtes Français de France.
Enfin dans les détails qui peuvent saboter une rencontre de réseautage, le mot déjeuner veut dire petit-déjeuner donc si vous arrivez à midi, c’est-à-dire pour le « diner » ou le « lunch », ce sera trop tard. Et le soir, c’est le souper ! »
Autres sources
Pour Jérôme Bondu, de inter-ligere, voici une synthèse des points de vigilance pour un dirigeant français qui veut travailler au Canada :
Les comportements adéquats :
- Le bonjour est moins cérémoniel qu’en France. Deux exemples : Quand on arrive au bureau, on dit souvent un « Bonjour » à la cantonade. Dans un magasin, on ne dit pas « Bonjour, j’aimerai avoir des informations » mais « J’aimerai avoir des informations, pouvez-vous m’aider ? ».
- La marque de la politesse se situe dans la gentillesse et le sourire, dans le fait de finir sa demande par « S’il vous plait » et « merci ».
- Les Canadiens sourient plus que les Français. Le visage est plus ouvert. De ce fait, un sourire ne signifiera donc pas que l’affaire est conclue…
- Un déjeuner sera apprécié.
- D’une manière générale il vaut mieux éviter les sujets personnels.
Pour la communication, les points communs et les différences avec la culture française :
- On pourrait croire le Canada et en particulier le Québec proches de la culture française. En réalité il n’en est rien.
C’est un pays à l’histoire récente, avec une immigration forte et composé d’une mosaïque de cultures. Dans cet ensemble, la culture nord-américaine prédomine avec comme caractéristiques : - Des rapports humains plus amicaux et décontractés. Les relations sont très vite conviviales et le tutoiement pratiquement instantané.
- Des règles très rigoureusement suivies.
- Une valorisation de la réussite sociale et professionnelle, et de la consommation.
- Il faut aussi faire la différence entre les francophones (essentiellement au Québec et dans l’Est) et les anglophones. L’écart entre les deux cultures peut être comparé à celui entre les Wallons et les Flamands en Belgique.
Les points importants à connaitre de la culture du pays, sur lesquels nos interlocuteurs s’étonneraient que nous ne soyons pas au courant :
- Les Québécois s’attendront à ce que vous ayez entendu parler de Champlain, du Grand Dérangement, des volontés indépendantistes, de l’effort pour maintenir la langue française dans la Belle Province…
Il faudra faire attention au politiquement correct. Un « noir » est un « homme de couleur », un trisomique est « Mentally challenged »…
Il faut aussi connaître et respecter les mesures sociales : Il est par exemple hors-la-loi de demander l’âge, le statut civil, la religion ou l’état de santé lors d’une entrevue d’embauche.
Les susceptibilités et les fiertés nationales :
- En général, les Canadiens sont ouverts et peu susceptibles. Néanmoins, il y a des choses qui peuvent heurter :
- Ne dites pas à un Canadien qu’il est un Américain, car ils luttent pour ne pas être englobés par le géant voisin.
- Ne critiquez pas l’accent des Québécois.
- Soyez élogieux envers leur modèle multiculturaliste qui fonctionne. Le Canada a été un des premier pays à intégrer la discrimination positive.
- Soyez respectueux de l’image de pays de paix. Le pays est très bien perçu à l’étranger. Les jeunes Canadiens en voyage cousent très souvent leur drapeau avec la feuille d’érable sur leur sac à dos. Enfin, la réussite dans la lutte contre la crise économique.
- L’utilisation de mots anglais au Québec irritera votre interlocuteur Québécois au plus haut point ! Ils disent « stationnement » et non pas parking, « plan d’affaires » et non business plan, « défi » et non challenge, etc.
Analyse
Dans un contexte professionnel au Canada, il est essentiel d’adopter un comportement respectueux et en accord avec les normes culturelles du pays. Voici quelques comportements à adopter pour réussir dans un environnement professionnel au Canada :
-
- Respecter la ponctualité : Arriver à l’heure est une marque de respect envers vos collègues et vos clients. Pensez à planifier votre emploi du temps de manière à être ponctuel aux réunions et aux rendez-vous.
- Faire preuve de politesse et de courtoisie : La politesse est une valeur importante dans la culture canadienne. Soyez respectueux envers vos collègues, vos supérieurs et vos clients.
- Adopter une communication professionnelle : Que ce soit à l’écrit ou à l’oral, maintenez un ton professionnel dans toutes vos communications. Évitez l’utilisation d’un langage familier ou informel, sauf si cela est approprié dans le contexte.
- Travailler de manière collaborative : La collaboration et le travail d’équipe sont valorisés dans de nombreux environnements professionnels au Canada. Soyez ouvert à travailler avec vos collègues et à partager vos idées de manière constructive.
- Adapter son style de communication : Le style de communication peut varier d’une région à une autre et d’un secteur d’activité à un autre. Il est important d’observer et de s’adapter au style de communication qui prévaut dans votre domaine professionnel et votre environnement géographique.
- Être clair et concis : Les Canadiens apprécient généralement une communication directe, claire et concise. Évitez les discours trop longs ou trop complexes, et allez droit au but.
- Favoriser l’inclusivité et la diversité : La société canadienne est diversifiée sur le plan culturel, ethnique et linguistique. Il est important de promouvoir une communication inclusive qui respecte les différences et valorise la diversité.
- Utiliser des moyens de communication variés : Le Canada est un pays vaste et diversifié, avec des populations dispersées dans différentes régions. Utilisez une gamme de moyens de communication, y compris les courriels, les appels téléphoniques, les réunions virtuelles et les rencontres en personne, selon les besoins et les préférences de vos interlocuteurs.
En respectant ces principes et en faisant preuve de sensibilité culturelle, vous serez mieux préparé à réussir vos communications professionnelles au Canada.
Comment réussir une NÉGOCIATION au Canada ?
En suivant ces conseils et en étant conscient de la culture et des normes sociales au Canada, vous serez mieux préparé à interagir efficacement dans un contexte professionnel.
Témoignages
Guillemette Moreau, Coach associé de Cadran, implantée depuis 10 ans au Canada, témoigne de son expérience :
« Les affaires se font beaucoup par connaissance et au ressenti personnel. Le réseautage est une pratique incontournable : les chambres de commerce fleurissent, il y a des groupes de réseautage multiples. Le bénévolat aussi peut être un outil important pour se créer son réseau professionnel. »
« Mais même en connaissant la personne, cela n’est pas toujours facile.
On prend parfois la métaphore de l’avocat et de la noix de coco dans les rapports commerciaux.
La noix de coco serait l’Europe, c’est dur de percer la coque, mais une fois que la relation d’affaires s’est établie et que la confiance est là, c’est facile.
L’avocat serait plutôt l’Amérique du Nord, c’est tendre au départ, vous pensez que cela avance facilement et puis à un moment, on bloque sur un noyau, on n’arrive plus à avancer et encore moins à conclure. »
Elle ajoute : « La négociation c’est compliqué dans le sens où au Canada et notamment au Québec, on n’aime pas la confrontation, on recherche le consensus. Il y a d’ailleurs cette expression québécoise typique « pas de chicane dans ma cabane ». Donc c’est parfois difficile d’avoir une vraie négociation ou juste un vrai feedback. Par exemple dans une boutique, s’il y a un achat décevant, les gens ne vont sans doute pas se plaindre, juste ils ne retourneront plus au magasin.
Si vous êtes dans une relation commerciale, vous pensez avoir passé déjà plusieurs portes et puis ça patine et vous ne comprenez pas ce qui se passe. En fait l’autre personne, par délicatesse ou par aversion au conflit, ne va pas forcément vous dire que « non, finalement ça ne nous intéresse pas ». »
Elle résume : « Le Canada, c’est compliqué. Il y a beaucoup d’européens désillusionnés qui ne se rendaient pas compte qu’on ne les attend pas forcément.
Si vous avez de l’argent à investir, que vous voulez créer votre entreprise, notamment dans les nouvelles technologies, c’est très facile, vous allez être aidé, accompagné. C’est un peu l’eldorado de l’entreprenariat.
Également pour les métiers en tension, notamment dans les technologies de l’information, ou si vous êtes boulanger ou soudeur, là aussi, vous allez être accueilli très très facilement.
Mais pour l’intégration sociale, gardez en tête que cela demande souvent du temps. »
Analyse
Réussir une négociation professionnelle au Canada nécessite une compréhension approfondie de la culture locale et l’application de certaines stratégies spécifiques. Voici quelques conseils pour réussir une négociation au Canada :
- Écoutez activement : Pendant la négociation, écoutez attentivement les arguments de l’autre partie. Montrez que vous comprenez ses préoccupations en posant des questions et en reformulant ses propos.
- Soyez ouvert et flexible : Gardez l’esprit ouvert et soyez prêt à explorer différentes options de compromis. La flexibilité peut aider à trouver des solutions qui répondent aux besoins des deux parties.
- Communiquez de manière claire et assertive : Exprimez vos idées et vos demandes de manière claire, concise et assertive. Utilisez un langage positif et évitez les communications ambiguës qui pourraient être mal interprétées.
- Recherchez des solutions gagnant-gagnant : Cherchez des solutions qui bénéficient à toutes les parties impliquées autant que possible. Évitez les tactiques de négociation agressives qui pourraient compromettre les relations à long terme.
En suivant ces conseils et en démontrant une sensibilité culturelle, vous augmenterez vos chances de réussir une négociation professionnelle au Canada.
Quel est le bon style de MANAGEMENT au Canada ?
Le manager français au Canada doit adapter son style de management.
Témoignages
Élodie Richard, Executive Director Canada, Estée Lauder, témoigne de son expérience dans l’entretien que j’ai mené avec elle :
« Le Canadien n’est pas du tout Américain. Un manager doit respecter le Canadien pour qui il est et d’où il vient. Et comme pour n’importe quel style de management, il doit s’adapter à la personne que nous avons en face de nous. Au Canada, la sous-culture et les origines prennent toute leur importance. Pour un manager, il est tout à fait respectable d’en tirer avantage et d’avoir des gens dans son équipe culturellement diversifiés. Généralement, les Canadiens sont très ouverts. En retour, le manager doit être, lui-même, très ouvert et très respectueux. Par exemple, quand j’ai un employé d’origine chinoise, ce qui est assez courant au Canada, je suis attentive à la célébration du Nouvel An Chinois. En présence d’un collaborateur qui célèbre une fête liée à sa culture, une belle manière de gérer la relation est de montrer que je connais et je respecte sa culture. Comme 30% de mes équipes sont d’origine internationale, je m’attache à tenir compte de la spécificité culturelle de chacun.
Quand un manager Français arrive au Canada, il est souvent très noir et blanc, et très directif, ce qui ne passe pas du tout ici. La grande différence entre les méthodes canadiennes de management et les méthodes françaises est qu’ici nous gérons vraiment les équipes au résultat, et pas forcément au nombre d’heures travaillées. Bien sûr, en tant que leader, j’ai une vision très claire, avec des KPI précis et une time line rigoureuse. Mais je laisse totalement aux équipes le soin de la mise en œuvre. Alors qu’en France, j’ai l’impression que le manager est très cartésien. Au Canada, le style de management est basé sur un objectif de résultat, pas dans un objectif de moyen. »
Guillemette Moreau, Coach associé de Cadran, implantée depuis 10 ans au Canada, témoigne de son expérience :
« Si vous êtes un manager à l’ancienne, évaluant l’engagement de vos équipes aux nombres d’heures de travail, il va falloir revoir votre manière de faire…
En général, les personnes font une claire séparation entre la vie professionnelle et la vie personnelle. On arrive plutôt tôt au travail mais on ne va pas faire de longues heures le soir. À 17h la plupart des gens sont partis des bureaux : pour profiter de leur vie personnelle, pour du bénévolat, parfois des études le soir à l’université… Parfois aussi pour un deuxième job en soirée, pour joindre les 2 bouts face à un fort endettement.
Un manager français doit y aller un peu au cas par cas pour bien comprendre la situation de chacun des employés et éviter de projeter ses attentes et ses valeurs par rapport à des gens qui peuvent être dans des situations très diverses.
Par ailleurs, le marché du travail est beaucoup plus fluide qu’en Europe, une personne peut démissionner et partir en 15 jours, peut-être même dès la fin de la semaine. Pour une promotion, changer d’air, ou juste un salaire légèrement supérieur. A vous d’être vigilant par rapport à l’état de satisfaction et de motivation de vos collaborateurs. »
Analyse
Au Canada, le style de management efficace repose en grande partie sur la compréhension et le respect des valeurs culturelles locales. Voici quelques principes clés à prendre en compte pour adopter le bon style de management au Canada :
- Leadership participatif : Les Canadiens apprécient généralement les gestionnaires qui favorisent la participation et la contribution de leur équipe. Encouragez le partage d’idées et de perspectives, et impliquez vos collaborateurs dans le processus de prise de décision lorsque cela est approprié.
- Communication ouverte et transparente : Maintenez une communication ouverte et transparente avec votre équipe. Partagez les informations pertinentes sur les objectifs, les projets et les décisions de l’entreprise, et encouragez vos collaborateurs à poser des questions et à exprimer leurs préoccupations.
- Respect de la diversité : Le Canada est un pays diversifié sur le plan culturel, ethnique et linguistique. Respectez la diversité au sein de votre équipe en valorisant les différentes perspectives et en encourageant un environnement inclusif où chacun se sent respecté et apprécié.
- Encouragement du travail d’équipe : Favorisez le travail d’équipe et la collaboration au sein de votre équipe. Créez des occasions pour que les membres de votre équipe travaillent ensemble sur des projets communs et apprennent les uns des autres.
- Développement professionnel : Investissez dans le développement professionnel de vos collaborateurs en leur offrant des occasions de formation et de perfectionnement. Soutenez leur croissance professionnelle en leur fournissant des commentaires constructifs et des opportunités d’avancement.
- Flexibilité et équilibre travail-vie personnelle : Reconnaître l’importance d’un équilibre sain entre le travail et la vie personnelle est crucial. Soyez flexible en ce qui concerne les horaires de travail et les besoins individuels de vos collaborateurs, dans la mesure du possible.
- Reconnaissance et appréciation : Montrez votre reconnaissance et votre appréciation envers vos collaborateurs pour leur travail et leurs contributions. Célébrez les réussites de l’équipe et exprimez votre gratitude de manière régulière.
En général, en adoptant un style de management qui intègre des éléments de respect, de communication transparente et d’engagement envers le développement de l’équipe, vous êtes plus susceptible de réussir dans le contexte professionnel au Canada. L’adaptation à la culture locale est essentielle pour établir des relations de confiance et favoriser une atmosphère de travail positive.
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International Executive Coach & Adviser « Become an inspiring leader » Antoine Leygonie-Fialko est International Executive Coach & Adviser, spécialisé dans l’accompagnement des dirigeants à l'international vers « une pensée Claire et Calme, Bienveillante et Puissante ». Polytechnicien, Ingénieur des Ponts, Architecte et Docteur en Philosophie, puis diplômé INSEAD, il est fondateur de la Co-CREATiVE Communication® et de la société CADRAN qui opère mondialement. Auparavant, il a dirigé 7 sociétés, de la start-up au corporate, en France et à l’international (Europe, Eurasie, Afrique), dans diverses industries (bâtiment, internet, RH…). Aujourd’hui, fort de plus de 3 000 heures d’Executive Coaching sur 5 continents et 40 pays, détenteur du plus haut niveau de certification (ICF MCC « Master Certified Coach ») et plusieurs fois nominé « Top 5 International Executive Coach », il intervient auprès de tout dirigeant qui vise un leadership d'excellence et souhaite développer toute la puissance qui sommeille en lui et ses équipes.ANTOINE LEYGONIE-FIALKO