Quel COMPORTEMENT et quel style de COMMUNICATION faut-il adopter dans un contexte professionnel en Côte d’Ivoire ?
Le comportement en situation professionnelle et le style de communication en Côte d’Ivoire se distinguent de la France.
Témoignages
Laurent Pommier, Directeur International, Midas, témoigne de son expérience dans l’entretien que j’ai mené avec lui :
« En Côte d’Ivoire, je n’ai pas senti le moindre problème parce que tu es français. Malgré tout ce qu’on peut dire sur le fait que la France a mauvaise presse, moi, avec les interlocuteurs que j’ai eu en Côte d’Ivoire, je n’ai jamais ressenti ça. Jamais. À aucun moment. Au contraire, les Ivoiriens sont très accueillants. »
Marc Messana, consultant, Akteos, témoigne de son expérience sur place :
« Vos correspondants locaux sont accueillants et ont toujours le sourire mais n’oubliez pas que les Ivoiriens vivent dans un pays où
- 40% de la population vit avec moins de 2 $ par jour
- 30% de la population vit avec moins de 10 $ par jour
- 90% de la population travaille dans le secteur informel
- Les Ivoiriens qui travaillent font vivre chacun entre 50 et 100 personnes
- Ils ont un jugement de plus en plus distancié sur la France »
« Aujourd’hui, je sens une convergence de risques politiques et sociaux qui s’explique par une croissance forte mais interrompue par des crises politiques, une économie de rente plutôt que de transformation, une croissance ressentie comme peu inclusive, un chômage massif, une corruption ressentie, des services publics perfectibles. Tout cela n’est compensé que par la “communauté“ qui assure la redistribution et les amortisseurs sociaux. »
« Il faut aussi retenir qu’en Côte d’Ivoire, il y a 100 000 libanais qui gère 40% de l’économie — 80 % parc immobilier privé, 60% du commerce, 90% du commerce de détail, 60% de l’industrie, 15% des recettes fiscales, 8% du PIB. Les Libanais de la Côte d’Ivoire ont un management communautaire et centralisé. Ils sont à la fois très adaptables et discrets dans leur réussite. Ils sont organisés en systèmes familiaux très hiérarchisés »
Eric, un cadre dirigeant dans une grande banque de la place, témoigne de son expérience dans l’entretien que j’ai mené avec lui :
« La première chose qui frappe est la culture de la hiérarchie : superviseur de cellule, chef de service, directeur, dirigeant… Les collaborateurs sont très respectueux de la hiérarchie. Cela s’accompagne par une multitude de nom : chief, boss, chef, « kif »… qui peuvent être suivis du nom de famille de la personne. Cela peut paraitre formel mais c’est avant tout respectueux et cela n’empêche en aucun cas des échanges francs et direct. Ce n’est pas de la condescendance. »
« Pour beaucoup le vouvoiement est de mise et il est très difficile de la faire changer. Depuis plus de 6 ans dans la banque, des programmes ont été initiés pour faire tomber les « barrières » entre les niveaux hiérarchiques et permettre à tout le monde de faire des propositions, des suggestions d’amélioration/optimisation des process. Cela commence à porter ses fruits mais cela prend du temps. »
Analyse
Adopter un comportement et un style de communication adaptés en contexte professionnel en Côte d’Ivoire nécessite de comprendre et de respecter certaines normes culturelles et professionnelles locales. Voici quelques éléments clés à considérer :
- Formalité et respect : La communication en Côte d’Ivoire, surtout dans le milieu professionnel, tend à être formelle. Il est important de faire preuve de respect, notamment en utilisant les titres appropriés et en évitant de tutoyer les collègues à moins que cela ne vous soit explicitement permis.
- Hiérarchie : La culture professionnelle en Côte d’Ivoire accorde beaucoup d’importance à la hiérarchie. Il est essentiel de reconnaître et de respecter la position de chacun dans l’entreprise. Cela peut se manifester par des gestes comme laisser les supérieurs prendre la parole en premier lors des réunions ou demander leur avis avant de prendre certaines décisions.
- Communication indirecte : Les Ivoiriens peuvent préférer une communication plus indirecte pour éviter les conflits ou pour montrer du respect. Il est donc parfois nécessaire de prêter attention non seulement à ce qui est dit, mais aussi à ce qui est sous-entendu.
- Relations personnelles : Les relations personnelles jouent un rôle important dans les affaires. Prendre le temps de connaître vos collègues et partenaires d’affaires, en discutant de sujets non professionnels avant de passer aux affaires, peut être très bénéfique.
- Gestuelle : Le langage non verbal est également significatif. Des gestes comme éviter le contact visuel direct avec les supérieurs peuvent être interprétés comme un signe de respect.
- Ponctualité : Bien que la notion de temps puisse être plus flexible qu’en Occident, il est recommandé d’être ponctuel pour les rendez-vous d’affaires, surtout si vous interagissez avec des entreprises internationales ou des professionnels qui peuvent avoir des attentes différentes en matière de ponctualité.
- Vêtements : L’apparence est importante. S’habiller de manière professionnelle et appropriée selon le secteur d’activité est essentiel. Pour les hommes, un costume ou une tenue traditionnelle lors des grandes occasions, et pour les femmes, des tenues professionnelles qui peuvent aussi être traditionnelles selon le contexte.
- Langue : Le français est la langue officielle, donc les communications professionnelles se font principalement en français. Cependant, montrer un intérêt pour les langues locales peut être perçu positivement.
En suivant ces lignes directrices, vous pourrez mieux naviguer dans le contexte professionnel ivoirien et établir des relations de travail fructueuses et respectueuses.
Comment réussir une NÉGOCIATION en Côte d’Ivoire ?
Pour réussir une négociation professionnelle en Côte d’Ivoire, un français doit être attentif à diverses dimensions culturelles.
Témoignages
Laurent Pommier, Directeur International, Midas, témoigne de son expérience dans l’entretien que j’ai mené avec lui :
« Comme ils disent en Afrique : Nous les Ivoiriens, nous avons le temps, vous les Européens, vous avez la montre. »
« Dans les négociations que je peux avoir avec certaines sociétés, ça peut durer des années. Et il n’y a pas d’urgence ». En outre, la situation se complique lorsque l’on traite avec des grandes sociétés : « À peine vous avez eu le temps de commencer à tisser des liens avec le DG et commencer à négocier quelque chose, il y a un autre DG qui arrive avec d’autres priorités. Donc ce qui est compliqué, c’est d’arriver à faire un closing rapide, avant la rotation des DG ».
« Si on a le temps et qu’on sait que ça va prendre du temps, la négo, elle n’a pas de caractéristiques particulières. C’est une négociation comme avec tout le monde. C’est juste qu’on avance vraiment très lentement. »
« Dans le top management, nos interlocuteurs ivoiriens sont des gens qui ont fait leurs études en France, ce sont des gens avec une culture internationale du business et de la négociation. »
« Pour autant, c’est une une culture du “Je ne bouge pas le petit doigt tant que le chef tout en haut ne m’a pas dit d’y aller“. Et donc, il faut attendre, franchir toutes les étapes et arriver tout en haut pour obtenir le Go de tout en haut. Et si on n’a pas le Go de tout en haut, ça ne sert à rien. En conséquence, je conseille de négocier tout de suite tout en haut. Mais parfois cela ne suffit pas. En effet, même en négociant tout en haut de la pyramide en Côte d’Ivoire, ce n’est pas toujours le haut de la pyramide du groupe. Donc, c’est très complexe. Il faut user d’influence. »
« Un des tips, c’est “Assurez-vous que vous avez en face de vous le décideur“. Mais c’est vrai un peu partout dans le monde. En Côte d’Ivoire, c’est encore plus vrai parce que les Ivoiriens ne vont même pas vous dire que ce n’est pas eux les décideurs. Alors qu’ailleurs, ils vont vous dire “Oui, mais ce n’est pas moi. Il va falloir que vous alliez voir“. En Côte d’Ivoire, c’est opaque. Les Ivoiriens sont motivés. Mais il ne se passe rien après car ici c’est la culture de “Il n’y a pas de souci“. La phrase que vous allez entendre le plus souvent c’est : “Il n’y a pas de problème, il n’y a pas de souci“. »
Eric, un cadre dirigeant dans une grande banque de la place, témoigne de son expérience dans l’entretien que j’ai mené avec lui :
« Ce qui est également remarquable est le déroulé d’une réunion : j’avais l’habitude d’un tour de table rapide pour que chacun se présente. Ici, au-delà de ce tour de table formel, les uns et les autres vont aussi longuement remercier pour la tenue de cette réunion, la qualité des échanges entre les uns et les autres… On prend le temps de planter le décor comme on prendra le temps pour lever la séance. Mais entre les deux, tout sera dit et abordé sans tabou. Les « palabres » introductives auront permis de créer les conditions propices à des échanges directs. »
Analyse
Réussir une négociation professionnelle en Côte d’Ivoire, comme dans de nombreux contextes interculturels, exige une compréhension des normes locales et un respect pour les coutumes d’affaires. Voici quelques conseils pour naviguer efficacement dans le processus de négociation :
- Préparation et recherche :
- Avant la négociation, renseignez-vous sur l’entreprise et les individus avec lesquels vous allez négocier. Comprendre leur contexte économique, leurs pratiques commerciales et leurs attentes peut vous donner un avantage significatif.
- Identifiez les objectifs à court et à long terme des deux parties pour trouver des terrains d’entente possibles.
- Relation avant transaction :
-
- En Côte d’Ivoire, établir une relation de confiance est souvent un prérequis à toute négociation réussie. Investissez du temps pour connaître vos interlocuteurs, peut-être autour d’un café ou d’un déjeuner, avant d’entamer les discussions formelles.
- Montrer un intérêt sincère pour la culture locale et pour les personnes avec lesquelles vous négociez peut faciliter un accord mutuellement avantageux.
- Communication respectueuse et adaptée :
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- Utilisez un langage formel et respectueux, en tenant compte de la hiérarchie et du statut des participants à la négociation.
- Préférez une approche de communication indirecte pour aborder les désaccords ou les points sensibles, afin de maintenir l’harmonie et le respect mutuel.
- Gestion du temps :
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- Soyez prêt à ce que les négociations prennent plus de temps que ce que vous pourriez attendre. La patience est une vertu clé dans les affaires en Côte d’Ivoire.
- Ne montrez pas d’impatience, car cela pourrait être perçu comme un manque de respect ou de sérieux.
- Flexibilité et compromis :
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- Entrez dans la négociation avec une attitude flexible, prêt à faire des compromis. Pensez à des solutions gagnant-gagnant où les deux parties peuvent se sentir satisfaites du résultat.
- Soyez clair sur vos limites, mais restez ouvert à différentes façons d’atteindre vos objectifs principaux.
- Utilisation des intermédiaires :
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- Considérez l’usage d’intermédiaires locaux ou de consultants qui comprennent à la fois les nuances culturelles et les exigences commerciales locales. Ils peuvent faciliter la communication et servir de médiateurs si nécessaire.
- Documentation claire et détaillée :
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- Une fois un accord atteint, assurez-vous que tous les termes sont clairement documentés et compris par toutes les parties. Cela inclut les responsabilités, les délais, les garanties, et les modalités de paiement.
En suivant ces directives et en abordant les négociations avec un esprit ouvert et respectueux, vous augmenterez vos chances de réussite dans vos interactions professionnelles en Côte d’Ivoire.
Quel est le bon style de MANAGEMENT en Côte d’Ivoire ?
Le manager français en Côte d’Ivoire doit adapter son style de management.
Témoignages
Laurent Pommier, Directeur International, Midas, témoigne de son expérience dans l’entretien que j’ai mené avec lui :
« Selon moi, en Côté d’Ivoire, il faut être un peu militaire dans le management. Vous devez dire à votre collaborateur : “Maintenant, tu vas le faire et puis je vais vérifier que tu le fais“. Parce que sinon, l’Ivoirien pense que nous en sommes encore à l’étape de la discussion, et non pas déjà à l’étape de l’exécution. Pour cette raison, je pense qu’il faut être hyper clair sur les directives en management : “Je veux ceci, je veux cela“. Il éviter de dire : “Ce serait bien si on avait ceci, ce serait bien si on avait cela“ parce que ça, ça veut dire qu’on discute. Ce n’est pas un engagement à agir. »
« En Côte d’Ivoire, c’est qu’il faut avoir des processus hyper carrés sur tout ce qui a de la valeur. Par exemple, dans un centre Midas, le stock est fermé à clé et une seule personne a la clé. Parce que dans la culture ivoirienne, voler son patron, c’est un sport national. Ils appellent ça : “être malin“, dans le sens positif du terme. La logique c’est que si tu arrives à profiter de la situation, tu es malin. Et si tu t’es fait prendre, c’est que tu n’es pas malin. Concrètement, cela veut dire qu’il faut toujours penser comment éviter le vol, comment éviter le détournement d’argent, etc. Chez nous, quand on achète des pièces, il faut que l’autorisation d’achat des pièces émane d’une personne du siège. Jamais un manager de centre n’a le droit d’acheter lui-même une pièce. Un Français qui arrive sur place, il ne pense pas à ça. Et, il se fait plumer. Même les Ivoiriens le disent aux Français qui arrivent : “Il faut que tu fasses ceci, parce que sinon, on va se faire voler“. En conséquence, il est plus important d’avoir une personne loyale qu’une personne compétente. C’est pour ça d’ailleurs que les entreprises gardent des managers qui ne sont pas très compétents parce qu’en Côte d’Ivoire, la compétence privilégiée, c’est la loyauté. »
« L’aspect social est très important. C’est un moteur. Dans une entreprise, quand vous faites des actions sociales en plus de votre business, ça permet de fédérer vos équipes. Parce que pour les Ivoiriens, c’est important. Chez Midas, nous sommes partenaires d’une école de mécanique. En nouant ce partenariat, nous avons bien senti que cela créait une émulation chez les collaborateurs, les managers, même les directeurs de centre. Ils étaient tous à pousser ce projet. »
« Le moteur reconnaissance, ça marche bien. Mettre en avant devant tout le monde des collaborateurs qui ont fait bien quelque chose, ça, les Ivoiriens en sont fiers, ils adorent ça. Par exemple, en nommant un “leader du mois“. Les grades aussi, c’est important, parce que les Ivoiriens sont très hiérarchiques. Du coup, bien gérer l’échelle de promotion, c’est quelque chose d’important. »
Eric, un cadre dirigeant dans une grande banque de la place, témoigne de son expérience dans l’entretien que j’ai mené avec lui :
« L’esprit d’équipe passe aussi par le souci de la santé de l’autre et de sa famille. Il y a beaucoup de maladies plus ou moins graves mais malheureusement la durée de vie moyenne en CI est beaucoup plus courte que celle en Europe. On est davantage confronté à la maladie, et à la mort, dans notre quotidien. Les arrêts maladies pour un ou deux jour ont fréquents (palu, dingue, …). En deux ans j’ai été confronté à beaucoup plus de situations dramatiques qu’en France : mort de la femme d’un collègue lors d’un accouchement, noyade d’un collègue dans l’océan en voulant sauver un nageur… et nous participons également aux cérémonies après un décès qui peuvent s’échelonner su plusieurs jours. Nous participons au « piquet » où une délégation de la banque vient rendre hommage au défunt au domicile de la famille.
Il est également important de prendre en compte l’équilibre vie privée-vie professionnelle des collaborateurs. Il n’est pas rare qu’ils mettent 2 heures aller et 2 heures retour pour se rendre au travail à Abidjan. Les conditions de transport sont juste calamiteuses. La banque ouvre à 7h30. Il est fréquent que les collaborateurs se lèvent à 4h30 pour éviter les bouchons redoutables d’Abidjan. De même le soir certains ne sont de retour chez eux qu’à 21 heures, voire plus. Il faut prendre cela en considération car forcément la fatigue se fait sentir.
De plus le télétravail n’en est qu’à ses balbutiements : en effet tout le monde est loin d’avoir une pièce chez lui dans laquelle il puisse travailler au calme sans parler de la qualité des services internet qui sont souvent défectueux. Nous lançons en septembre un expérimentation de travail distance dans des espaces de coworking de la banque que nous créons en périphérie d’Abidjan. Ce sont ainsi 100 collaborateurs qui vont pouvoir télétravailler depuis ces lieux. Si les résultats sont probants, nous ouvrirons de nouveaux sites début 2025. »
Analyse
Le style de management en Côte d’Ivoire, comme dans beaucoup d’autres pays, peut varier en fonction de nombreux facteurs, notamment la culture d’entreprise, la taille de l’organisation, le secteur d’activité, et les caractéristiques individuelles des employés. Cependant, certains traits communs et pratiques de gestion efficaces peuvent être identifiés pour un contexte ivoirien :
- Respect de la Hiérarchie
La culture ivoirienne tend à accorder une grande importance à la hiérarchie. Un style de management respectant les niveaux hiérarchiques tout en valorisant l’apport de chacun peut être efficace. Les décisions stratégiques sont souvent attendues des niveaux supérieurs, tandis que les niveaux inférieurs peuvent se concentrer sur l’exécution des tâches.
- Leadership Participatif
Bien que la hiérarchie soit importante, un leadership participatif où les employés sont impliqués dans la prise de décision peut favoriser l’engagement et la motivation. Les managers peuvent organiser des réunions régulières pour écouter les idées et les préoccupations des employés, les intégrant ainsi dans le processus décisionnel.
- Communication Claire et Respectueuse
La communication ouverte et respectueuse est cruciale. Les managers doivent être clairs dans leurs attentes et objectifs tout en étant à l’écoute des employés. La rétroaction constructive et régulière peut aider à améliorer les performances et à renforcer les relations de travail.
- Sens de la Communauté et de la Solidarité
La culture ivoirienne valorise les relations communautaires et la solidarité. Un manager qui favorise un esprit d’équipe et de collaboration, et qui montre de l’empathie envers les employés, peut créer un environnement de travail harmonieux et productif.
- Adaptabilité et Flexibilité
Le marché ivoirien peut être dynamique et en constante évolution. Les managers doivent donc faire preuve d’adaptabilité et de flexibilité pour répondre rapidement aux changements et aux nouveaux défis.
- Formation et Développement
Investir dans la formation et le développement des employés est essentiel. Les managers doivent encourager la montée en compétences de leurs équipes à travers des programmes de formation continue et des opportunités de développement professionnel.
- Reconnaissance et Récompenses
Reconnaître et récompenser les efforts et les succès des employés peut avoir un impact positif sur la motivation et la satisfaction au travail. Cela peut être fait à travers des primes, des promotions, ou même des reconnaissances publiques.
- Équilibre Travail-Vie Personnelle
Promouvoir un bon équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle est également important. Les managers doivent être attentifs aux besoins personnels des employés et offrir des solutions flexibles lorsque cela est possible.
En résumé, un bon style de management en Côte d’Ivoire combine le respect de la hiérarchie avec une approche participative, une communication ouverte, et une forte attention à la solidarité et au développement des employés. En adaptant ces principes aux spécificités de leur organisation et de leur secteur, les managers peuvent créer des environnements de travail productifs et harmonieux.
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International Executive Coach & Adviser « Become an inspiring leader » Antoine Leygonie-Fialko est International Executive Coach & Adviser, spécialisé dans l’accompagnement des dirigeants à l'international vers « une pensée Claire et Calme, Bienveillante et Puissante ». Polytechnicien, Ingénieur des Ponts, Architecte et Docteur en Philosophie, puis diplômé INSEAD, il est fondateur de la Co-CREATiVE Communication® et de la société CADRAN qui opère mondialement. Auparavant, il a dirigé 7 sociétés, de la start-up au corporate, en France et à l’international (Europe, Eurasie, Afrique), dans diverses industries (bâtiment, internet, RH…). Aujourd’hui, fort de plus de 3 000 heures d’Executive Coaching sur 5 continents et 40 pays, détenteur du plus haut niveau de certification (ICF MCC « Master Certified Coach ») et plusieurs fois nominé « Top 5 International Executive Coach », il intervient auprès de tout dirigeant qui vise un leadership d'excellence et souhaite développer toute la puissance qui sommeille en lui et ses équipes.ANTOINE LEYGONIE-FIALKO